The Pirate's Dreams
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The Pirate's Dreams

Devenez l'aventurier de vos rèves dans cet univers pirate totalement déjanté.
 
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 Kiba [validé]

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Kiba
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Kiba


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MessageSujet: Kiba [validé]   Kiba [validé] Icon_minitimeVen 9 Fév - 22:03

Nom : Klein.

Prénom : Kiba.

Surnom: Pas pour le moment.

Age: J’ai seize ans il me semble…

Sexe: Masculin.

Lieu de naissance/résidence : L’ouest.

Appartenance: Pirate.

Métier: Combattant, et plus précisément sniper.

Description physique:
Taille: Je mesure environ 1m75.

Poids : Je pèse près de 60 kilogrammes.

Yeux: Mes yeux sont d’un bleu azur éclatant.

Cheveux: Mes cheveux, assez longs, sont roses et violets, et le resteront à jamais.
Tout cela à cause d’une teinture ratée, vous vous rendez compte ?!

Style vestimentaire: Je m’habille très simplement, avec un tee-shirt, et un pantalon noir, ni trop large, ni trop fin. Au bas de ce dernier, le tissu est déchiré car il traine souvent par terre. Mes chaussures, faites avec la peau d’un animal mythique, je cite, la vache, sont assez légères, et me permettent de pouvoir me déplacer rapidement. Elles sont toutes noires, avec des bandes blanches et des petits trous pour l’aération. J’avoue que ce n’est pas pratique quand il pleut, mais bon, ça évite la pousse trop rapide des champignons. Sinon, parfois, je mets des chemises, de n’importe quelle couleur, de toute façon, je suis à moitié daltonien alors…

Signes particuliers: Des signes particuliers ?! Hum, disons que j’ai un tatouage, noir, dans le bas du dos, qui représente un… j’en sais rien, j’ai jamais pu voir. J’avais demandé un dragon au vendeur, mais il avait l’air plus chinois qu’autre chose et l m’a répondu en me faisant un sourire à la « je m’en fou de ta vie ». Sinon, j’avais une oreille percée avant, mais, plus maintenant, vu que c’était avant… J’avoue être légèrement, mais très légèrement, accro à la clope, ce qui fait que j’ai souvent de quoi fumer dans le bec.


Thème musical: Murderdolls – I Love to Say Fuck !

Histoire:

Au plus loin que je me souvienne,, je devais avoir cinq ans et de demi et je gambadais presque tout nu sur la plage, essayant d’attraper des crabes, ou peut-être des araignées de mer : je sais pas bien e que c’était, mais je sais que ça pinçait drôlement fort. D’ailleurs, je ne vois toujours pas aujourd’hui la différence entre un crabe et une araignée de mer, c’est la même chose, non ? Enfin bon, c’est pas le sujet de ce récit. Il me semble que je suis né un premier Février, alors qu’il pleuvait comme jamais sur la petite île de West Blue où j’habitais, c’est ma mère qui m’a raconté ça, peu de temps avant de mourir. Une bonne femme, ma mère, toujours à me demander si j’allais bien, si je ne manquais de rien, et pourtant si malheureuse, souffrant d’avoir eu un enfant trop jeune. J’étais la chose qui avait bouleversé sa vie, qui l’avait conduit dans la pauvreté, un chemin dont très peu de personnes arrivent à se sortir, et pourtant, elle ne gardait, mais vraiment aucune rancune contre moi. Elle m’a élevé seule, pendant les huit premières années de ma vie, tout ça à cause de l’inconscience de son abruti d’ex-copain, je cite, mon père, qui l’avait quitté après qu’ils aient procrée tranquillement une nuit de folie. D’un côté, je comprends la réaction de mon paternel biologique, vu le caractère que m’a décrit ma mère, mais bon, il aurait pu garder contact, et au pire, nous filer quelques billets une ou deux fois par mois. C’était pas grand-chose cent berrys, ou même cinquante berrys, et pourtant, ça aurait pu nous nourrir un peu plus, ça aurait pu lui laisser quelques jours de plus à vivre, à ma pauvre mère. Mais le sort en a décidé ainsi… Moi j’y pouvais rien au sort, et j’y peux d’ailleurs toujours rien…

Apparemment, d’après les dires de maman chérie, nous avons toujours vécu dans cette petite cabane près de la plage. Une bâtisse toute légèrement assemblé, qui nous empêchait d’avoir froid quand le vent se levait, qui nous évitait d’être mouillé quand la pluie se décidait à tomber, et qui par-dessus, nous protégeais des diverses choses de la vie, qui auraient très bien pu nous nuire, comme des brigands, des animaux sauvages, ou des marines en rut trop saouls pour oublier jusqu’à leur nom. Je dois avouer que cette petite installation, à la lisière de la forêt, avec vue sur l’océan pouvait paraître pas mal du tout, mais sa superficie, tellement peu élevée, nous enfonçait dans cette situation de pauvreté intense. Il y avait en tout trois pièces, fermé par des portes, ou des rideaux. Ma mère, en matriarche très exemplaire, dormait sur cette chose qu’on pouvait, ou non, nommer sofa, me laissant ainsi la petite chambre, qui me permettait d’être à mon aise, et d’avoir un minimum de confort. Je savais qu’elle ne dormait pas de la nuit, que je sois enfant ou nourrisson, et chaque soir, j’entendais ses prières et ses sanglots… Quelle vie de merde pour cette pauvre femme… Elle était destinée à de brillantes études en plus, toujours première en classe, avec un minimum de connaissances générales et culturelles, et pourtant, ce bébé qu’elle eut, moi, l’empêcha d’entrer dans les grandes écoles de médecine. Elle aurait très bien pu avoir la gloire, car, je le sais maintenant, elle avait un talent certain pour les soins, et savait parfaitement l’anatomie du corps humain. Vivre dans une grande famille de cinq enfants, avec un mari on ne peut plus beau, le tout soudé comme les doigts de la main, je sais très bien que c’était son rêve… Dommage pour elle… C’est tout… Je n’ai pas choisi d’apparaître à ce moment-là… Certaines personnes affirment qu’on a que ce qu’on mérite… Je trouve ça plutôt faux et révoltant, elle ne méritait pas ça… Bon, je m’arrête là pour ma mère, c’est mon récit après tout, pas le sien…
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Kiba
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Kiba


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MessageSujet: Re: Kiba [validé]   Kiba [validé] Icon_minitimeVen 9 Fév - 22:04

J’ai donc grandi dans cet univers assez lugubre et étrange, mais, très vite, vers mes sept ans, j’ai compris que ma mère se privait pour me laisser manger, que parfois, elle n’avalait rien pendant plusieurs jours, juste pour que je n’ai qu’un quignon de pain sec. Cette situation me déplaisait plus qu’autre chose, et j’avais l’impression de dépendre de quelqu’un… Il est vrai qu’à cet âge-là, on dépend, normalement, de ses parents, mais moi, c’était pas pareil, c’était la dèche chez moi... Alors j’ai commencé à voler, à travailler au noir, chez les patrons peu soucieux qui acceptaient volontiers de me prendre pour gagner quelques pièces de monnaie. Au début, je bossais dans une petite boutique de sabre : mon rôle là-dedans ? J’apportais les armes à leur propriétaire, et gentiment, je leur demandais s’ils voulaient essayer leur nouvelle arme, sur un petit mannequin que je faisais bouger s’il le demandait. Je me rappelle encore qu’il fallait être poli avec le client, même s’il ratait tout le temps sa cible, une moquerie envers les clients, et j’étais renvoyé sans tergiverser. Je me souviens encore d’une fois où j’avais osé rigolé sur ce vieux monsieur, qui n’appréciait pas qu’on se foute de lui, il m’a mit trois tartes dans la tronche, et m’a déchiré la peau au niveau du bras avec son sabre, comme s’il magnait l’épée avec une précision infime, n’importe quoi, ça m’a valut une balafre énorme de plus, quel enfoiré celui-là !

Finalement, le vol, c’était aussi bien, et ma petite figure angélique plaisait énormément aux pauvres gens que je pillais à leur insu. C’était trop facile pour moi, les gens croyaient à une course poursuite de gosses, et ils rigolaient à me voir tomber. Je galopais comme jamais dans les rues, et, trouvant le pigeon idéal, je trébuchais. Une main dans la poche, puis on s’agrippe au manteau, et on fait style de tomber à la renverse. Je me rappelle de leur petite phrase : Fais bien attention la prochaine fois… Mon cul, ouais, c’était à eux de surveiller un peu plus leurs poches, et surtout, les petits salauds pickpocket qui accourait de nulle part, et qui, comme par hasard, comme si le grand Dieu là-haut avait voulu ça, trébuchait de façon à se rattraper sur leur blouson. Après les portes-feuilles, je me suis attaqué à plus gros, ne trainant plus que quelques heures chez moi, pour dormir, et manger parfois. Je rapportais de l’argent à ma mère pour qu’elle mange à sa fin, et tout allait bien. Mais un jour, elle décéda… La porte de la maison était entrouverte, et on pouvait remarquer qu’elle avait été brisée à deux endroits, de façon à pouvoir tourner la poignée, tout en étant à l’extérieur. Elle avait sûrement voulu se défendre cette bonne femme, car elle avait un couteau à la main, mais elle était entaillée de partout. Le seul truc qu’on reconnaissait, c’était son visage creux, comme ont les morts, et un léger tatouage sur son poigné. 01-02, qu’est ce que ça voulait dire ? J’ai compris qu’il s’agissait de ma date de naissance un peu plus tard, elle avait dû, par peur de l’oublier, la graver sur son avant-bras… Dans tous les cas, les pseudo-marines, ces enfoirés, ils ont conclu à un suicide, et je me suis retrouvé seul, dans un pensionnat d’orphelin… Orphelin à la con, je suis sûr qu’un des marines était dans le coup, ils ont dû la violé, et après, on s’en fou, on fait disparaître le témoin principal…

M’enfin, tout cela a fait que je me suis retrouvé dans cette vieille école pourrie. Un pensionnat qu’ils disaient tous… Moi j’aurais dit un asile de fous furieux : la plupart des élèves avaient plus de trente ans, et ils portaient des camisoles pour sortir dans la grande cour de terre. Une terre marron noirâtre, dure comme la pierre, histoire qu’on se fasse pas la belle en creusant avec les petits cuillères qu’ils nous laissaient pour manger à la cantine. D’ailleurs, cette cantine, c’était vraiment le truc le plus abominable que j’avais vu, la bouffe, je préfère même pas en parler, tellement c’était dégueulasse, on mangeait tous les jours cette espèce de bouillie verte caca d’oie, qui devait être un mélange d’épinard, de riz, et d’autres trucs louches. En plus, les servantes, toutes bizarres, te regardaient avec un air de psychopathe qui traduisait qu’elles allaient te tuer pour te rajouter à la bouillie du midi et du soir. Je peux vous dire que si elle me rajoutait moi, tout le camp clamsait après quelques jours. J’avais ce sentiment, ancré en moi, que je ne ferais jamais un bon repas. Etrange non ? Tout ce blabla pour dire que je suis resté là-bas pendant au moins cinq ans, cinq ans de calvaire intense, les pires années de ma vie… Enfin, j’ai que seize ans et quelques, donc ma vie, c’est pas encore un truc très long. On sait jamais, peut-être que demain, une balle perdue m’abattra alors que je me promenais tranquillement dans un parc du centre ville. Enfin bon, je me souviens d’une chose vraiment étrange, c’est que certains de mes potes disparaissaient au fil du temps, on les emmenait dans un monde meilleur d’après les médecins… Mon cul, ouais, j’ai appris plus tard ce qui leur était arrivé, car j’ai subi un sort similaire…

Un matin, alors que le soleil me réveillait brutalement, car les surveillants venaient d’ouvrir tous les stores des fenêtres à barreaux, un espèce de mec louche en blouse arriva devant ma cellule. J’ai cru, pendant un instant, qu’il venait pour l’autre timbré qu’on m’avait refilé quelques jours auparavant, mais, ce même gars, il venait me chercher moi. J’ai tout de suite pensé que moi aussi j’allais aller dans un monde meilleurs, comme les copains, alors j’ai humé l’air comme je pouvais, pour respirer encore un petit peu, mais il se trouva qu’on ne m’abattit pas. En fait, j’ai suivi le médecin dans une grande salle, quelque peu sombre. Des cris s’échappaient de celle-ci, et les portes semblaient trembler de frayeur. Plus rien, on entendit un juron en allemand, ou quelque chose dans ce genre, et deux hommes sortirent sur un brancard un sac blanc de taille humaine. C’était un homme, j’en suis sûr, un prisonnier, car, avant d’entrer dans la pièce, j’ai pu constater que son bras pendait sur le côté… Merde, j’allais clamser dans quelques minutes. Tout ce combat pour la vie, toutes ces déchirures, pour mourir comme un débile… On me laissa seul, du moins, c’est ce que j’ai cru à ce moment, mais derrière mois, un homme, caché dans l’ombre, m’injecta dans l’épaule une sorte de produit étrange. Ni une, ni deux, je me voyais revenir à l’état végétatif, et, apparemment, le fier docteur qui venait de m’endormir comptait travailler sur ma petite personne. Quel honneur pour un bâtard de mon espèce… Je me rappelle qu’après une demi-heure, je me suis éveillé violemment. Une lumière dans mes yeux… Ce n’était que le lampadaire, pas le paradis… Et merde, j’avais perdu la chance de vivre heureux au pays du bon Dieu. Tant pis, après cette épreuve, on me relâcha, dans la nature, en pleine cité urbaine, avec seulement un pagne de fou, et des cernes gros comme une maison. Que s’était-il passer ? J’avais les cheveux roses en plus… Ils avaient sûrement essayé une teinture miracle sur ma tronche, et ça avait raté… Héhéhé, bien fait pour eux après tout, ces enfoirés…

Après cela, j’ai vécut pendant environ trois années des vols que je faisais la journée. Toujours la même manière de chien, sauf que ma tronche était moins angélique qu’avant. Mes cheveux roses faisaient bien rire les gosses, je pourrais donc toujours me reposer sur un avenir de clown, si jamais ma vie devenait un réel chaos. Je pensais que j’étais condamné à resté du mauvais côté, c’est-à-dire à n’être qu’un raté, un vaurien, et un lourd fardeau pour la race si cruellement humaine, mais un jour, quelqu’un me fit changer d’avis. Une après-midi que j’entrais dans le bar de cette île de West Blue où j’habitais… Hum… Snake’s Apple… je m’assis au bar, pour commander un peu de rhum, ça réchauffait comme il fallait, et le patron ne s’ennuyait pas à savoir si on était mineur ou pas, donc bon, c’était une combine parfaite… Une sucette à la bouche, je pus contempler le ramassis de vieux ivrognes allongés au sol, le tout avec un goût de fraise dans le bec, parfait… Sauf qu’un des ivrognes tenait encore assez debout pour s’asseoir au comptoir, tout près de moi. Je cherchais pas les embrouilles moi, tout calmement, mais lui, il vient le chercher avec un : « Tu suces bien, dis-donc… ». Evidemment, moi je garde le silence, mais il m’interpelle le salaud. Obligé, je lui réponds avec une douceur provocante : « Pas aussi bien que ta mère en tous cas… », mais là, il se vexe le sagouin.

Dégageant son verre, le connard m’empoigne, et il me traine sur le bar, balayant le verre que j ‘allais m’engloutir. Puis, me fracassant une bouteille de Porto sur la gueule, il m’éclate au sol. C’était un pirate apparemment, qui était respecté dans son milieu social, la piraterie. Je n’avais jamais pensé à ça, mais finalement, peut-être que la navigation, c’est mon truc. Il fallait juste que je m’achète un gun, et à moi les folles aventures. Allez ! Et que le rhum coule à flots !



Caractère: Disons que les gens considèrent que je suis assez lunatique, vous savez ? Je change de caractère en fonction de la situation présente, et de mes émotions. D’ordinaire, on peut dire que je suis assez sympathique, malgré un caractère assez trempé. Je sais que la vie n’est pas rose, et je me ferais un plaisir de vous le rappelez. J’adore l’humour, et surtout rigoler, une vie sans humour, c’est de la mer@°#~. Pour mes techniques de drague, j’ai deux variantes : soit je suis assez provocateur, mettant au défi et embêtant, ma future, qui devient vite ma copine, ou faire mon mec ténébreux, ça marche parfois, tu prends un regard blasé et tu parles pas beaucoup. Sinon, en groupe, j’aime devenir le leader, c’est naturel chez moi… Surtout que le leader est souvent le plus fort et que je suis, moi-même, très très fort. J’aime être le meilleur et gagner, même si je ne m’investis que dans les combats sérieux. Le petit vantard qui veut impressionné sa copine en me défiant, je m’en contre fou, je récupère juste la copine à la fin…

Ce qu'il aime: J’aime manger avant tout, et celui qui gâche la bouffe, je le plombe… Sinon, les animaux, qui sont gentils bien sûr, m’attire, mais je ne suis pas zoophile, compris ?! J’avoue que se battre est assez marrant, mais à force, ça me lasse.

Ce qu'il n'aime pas: Je hais plus que tout le poisson, vous savez, ce petit truc bizarre qui nage dans l’eau de mer… Berk… Rien que d’y penser, ça me donne envie de gerb#@*°... Sinon, je n’aime pas les prétentieux, et qu’on dise que je suis méchant… Je suis un gentil, un point c’est tout, vous n’allez pas me faire chi#’@ là-dessus.

Sa philosophie de la vie: Le monde est ce qu’il est, c’est pas moi qui vais le changer…

Ambitions: Ambitions ? Trouver le One Piece bien évidemment… Et puis, sortir avec des belles filles… Mais dans l’immédiat, trouver un équipage, et voler un bateau.

Armes: J’ai un joli petit gun avec un canon de trois pouces. Le calibre ? Je dirais dix ou onze… Mais ce qui est sûr, c’est qu’à bout portant, ça fait mal…

Fruit du démon: Non…

Style de combat: Ma stratégie de combat, vous voulez vraiment la savoir ? C’est assez simple, et ça utilise la vitesse, la force, et la précision. En fait, je charge mon flingue, et… SBAM !!! Je tire partout jusqu’à ce que j’aie plus de balles… Alors je recharge et je fais pareil…

Phrase de finition: « Ce que je préférais chez toi finalement, c’était ta copine… »
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le Saigneur
Admin D Pouffy
le Saigneur


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MessageSujet: ...   Kiba [validé] Icon_minitimeDim 11 Fév - 0:33

CLAP CLAP CLAP !!!!!

FRANCHEMENT C'EST SUPER BIEN ECRIT YA RIEN A REDIRE !!! CA A ETE UN REEL PLAISIR DE LIRE CETTE FICHE CROIS MOI !!!!!

Pour moi c'est ok tu es validé !!! Pour te faire un équipage ya pas non plus de blems. Pour ton rp tu peux commencer mais je tiens à ce qu'il commence là ou ton histoire s'arrète, c'est à dire au moment ou tu te fais dérouiller su le bar !!! Du coup fais donc une fiche pour ton ile de depart et fais donc ton premier post !!!
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le Deimon
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le Deimon


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MessageSujet: Re: Kiba [validé]   Kiba [validé] Icon_minitimeLun 12 Fév - 0:33

C'est une belle fiche, on dirait presque un livre...

Ca donne envie d'entrer dans ton équipage !!
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Kiba
Capitaine
Kiba


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MessageSujet: Re: Kiba [validé]   Kiba [validé] Icon_minitimeLun 12 Fév - 21:02

Merci bien
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Ryuji Shinja
Combattant
Ryuji Shinja


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MessageSujet: Re: Kiba [validé]   Kiba [validé] Icon_minitimeMar 13 Fév - 10:53

Très sympa ta fiche Kiba, elle m'a bien fait triper!
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MessageSujet: Re: Kiba [validé]   Kiba [validé] Icon_minitime

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