| | | L'île d'Akuma Crow |  |
| | | Auteur | Message |
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Kiba
Capitaine
Nombre de messages : 21
Date d'inscription : 18/12/2006
| Sujet: L'île d'Akuma Crow  Jeu 22 Fév - 13:16 | |
| Nom : L’île d’Akuma Crow.
Superficie : 600 km²
Climat moyen : Le climat est assez chaud et calme.
Population : L’île est peuplée par diverses personnes, vivant là depuis assez longtemps. Le tout est divisé en deux villages, de chaque côté, séparé par une sorte de forêt vierge. Une bonne vingtaine de marines y ont élu domicile, et la plupart des marchands les engraissent.
Régime : Personne ne gouverne réellement ce peuple. Les marines sont pour la plupart du temps ivres, et c’est une sorte d’assemblée qui décide du sort des criminels et autres pirates. | |
| | | | Kiba
Capitaine
Nombre de messages : 21
Date d'inscription : 18/12/2006
| | Sujet: Re: L'île d'Akuma Crow Jeu 22 Fév - 13:35 | |
| Quel combat impressionnant pour Kiba, qui venait de se réveiller, la gueule béante dans les ordures. Ce pirate à la noix l’avait vraiment éclaté, et la dernière chose dont il se rappelait, c’était le crachat bien dégoulinant qu’il avait reçu en plein dans la face, avant de se faire insulter. Bien qu’il n’ait payé aucune consommation, il en avait bu de l’alcool le petit, et maintenant, il sentait que sa tête tournait, décrivant des cercles d’étoiles tantôt vers la gauche, tantôt vers la droite. C’est donc dans une vieille odeur de pastis et de rhum que notre héros se releva, assez fatigué de sa mésaventure désastreuse et humiliante. Il avait appris qu’il ne fallait pas se frotter à un pirate, sinon, on se faisait massacrer, et ça, il le retiendrait. Mais après tout, c’était pas si mal d’avoir ce statut : les gens te craignaient, ils t’imploraient de laisser leur village tranquille, et toi, un seul mot à dire, et toute une cuvée de rhum arrivait jusqu’à ton navire à vitesse grand-V.
Pourquoi être un de ces vauriens de pirates ? Bonne idée qui raisonna dans la tête de Kiba. Il monterait un super équipage, et après avoir trouvé ce fameux One Piece, que personne n’avait jamais eu entre les mains, mais que lui aurait car il serait le meilleur, il parcourrait les différentes mers à la recherche de jolies jeunes filles pour faire un harem… Euh une famille… Mais il y avait ces enfoirés de marines, qui veillaient au grain pour éclater les petits équipages nouveaux. Une chose était sûre, il fallait à notre héros une troupe de baroudeurs d’élite, qui seraient comment se battre et écraser la résistance des forces de l’ordre. Lui n’avait jamais appris à se battre, ça servait à rien, les quelques bêtes qu’il essayait d’attraper étaient complètement connes, alors, il fallait juste prendre un bâton en bois et taper dessus jusqu’à se que ça fasse plus de bruit.
Dans son fort intérieur, il ne se disait pas qu’il existait des maîtres en l’art de sa battre, des combattants qui alliaient précision et puissance dans leurs coups pour découper du fer, par exemple, ou justement ne pas trancher un mouchoir en papier. Kiba voulait une arme, mais pas un truc de lavette, du genre sabre ou arc, quelque chose qui était simple à manier, et qui faisait bien mal, une arme à feu… Un énorme gun gris métallisé, qui faisait un boucan pas possible serait parfait. Et hop qu’il trouerait l’estomac d’un ennemi à coups de balles, alors qu’en se tournant un peu, il ferait pété la tête d’un autre adversaire… Que de rêve !
Le jeune homme commença par faire quelques pas digne d’un ivrogne, puis il se remit à marcher correctement, quand enfin il parvint à vomir ce qui coinçait dans son estomac. Voilà que le mur de la rue était repeint de vert, que du bonheur… Le boucher, comme à son habitude, sortait un petit peu, pour recevoir les rayons du soleil, qui réchauffait son énorme, mais surtout moche, visage blanc de macchabé, mais alors qu’il saluait Kiba, celui-ci se contenta de lui mettre un énorme vent, de l’ignorer comme jamais. Après tout, ce sale vieillard était vraiment un salaud : pour Noël, il offrait à la mère de notre héros un morceau de viande, assez sec et poussiéreux, mais tout le monde savait très bien que c’était ce qu’il avait laissé par inadvertance dans un de ces vieux cartons de nourriture, et maintenant qu’il se faisait vieux, il craignait une quelconque vengeance qui briserait sa petite santé… | |
| | | | MJ3
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Date d'inscription : 08/02/2007
| | Sujet: Re: L'île d'Akuma Crow Jeu 22 Fév - 20:32 | |
| [Ohayou Kiba-kun, ici ton n'Mj, qui sera ton Mj, j'éspère que nous ferons une bonne aventure!] Après s'être levé tel le picoleur au nez le plus rouge de la planète, et avoir dégobillé ses tripes à côté du mur de ce cher boulanger, notre ami Kiba s'en alla dans les rues à la recherche de cette chose qui lui faisait tellement envie:
Un beau fusil avec lequel il s'amuserait à éclater les têtes des gens, ou peut être les parties du corps les plus rigolotes lorsqu'elles explosent... (Parties intimes?)
Malheureusement, notre cher Kiba ne tenait plus debout...
'Faut dire, avec ses abus d'alcools et son degueulie corrosive qu'il venait d'expulser, il était épuisé le jeune.
Il s'écroula donc sur le sol...
Certains d'entre vous pourrez penser à ce fameux boucher au visage d'un blanc immaculé, pour venir le sauver... (Quel poète je fais!)
Mais non, lorsque le boucher vit l'ampleur du massacre sur le mur de sa boutique -qui faisait bien sûr, fuir la clientèle- il voulu réclamer vengeance!
Sans pitié, il s'approcha lentement mais avec un visage passé du blanc au rouge avec les traits de l'homme furieux de Kiba, et lui administra sa botte dans le bide.
Notre héros ne bouge pas, le regard vide....
Comme toujours, il a un grand don pour ignorer lorsque que cela ne l'intéresse pas.
Les coups se multiplièrent, Kiba, était bien sûr en train d'encaisser, de la bave qui sortait de sa bouche, puis du sang...
Cependant, cela ne lui faisait rien, toujours aucune réponse.
Notre ami l'ouvrier passa aux choses sérieuses:
il prit sa main par l'épaule et s'approcha vers l'Océan...
"La mort, la MORT!! C'est tout ce que tu mérites!!"
Un fou, je vous dis, un fou!
Avant qu'il ne passe à l'acte, au bord d'un pont du port, Kiba lui fit une prise de karaté, et du coup, se fut lui qui tomba à l'eau, mais ce dernier coup l'épuisa, et il s'evanouissit...
Un certains nombre d'heures plus tard, il se réveilla dans une chambre, toute blanche, dans un lit, avec le logo de la marine sur la couette et sur le coussin, bien embêté le bougre.
Il se leva, regarda par la fenêtre, il vit l'Océan, bien agité aujourd'hui.
Il pleuvait, alors que lorsqu'il était arrivé sur l'île, le soleil et la chaleur dominer la bourgade.
"Mais combien de temps j'ai dormi? Qu'est ce que je fous ici?"
Réaction normal pour un p'tit gars comme lui.
En regardant cette Océan, il se dit alors qu'il aurait du chemin à faire, pour devenir le plus riche et sexy admiré des pirates.
Il se retourna, et se trouva nez à nez avec une jolie jeune fille comme il les aime apparemment.
*Nice hit!!*
Elle était de la Marine, puisqu'elle portait l'uniforme.
Une longue discussion est une longue aventure attend notre jeune Kiba avec une ouverture décapante![Je te laisse continuer le récit ^^] | |
| | | | Kiba
Capitaine
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Date d'inscription : 18/12/2006
| | Sujet: Re: L'île d'Akuma Crow Ven 9 Mar - 21:52 | |
| Du blanc, que du blanc partout… Kiba sursauta quand il se réveilla, se rendant compte qu’il n’avait plus la gueule de bois d’il y a quelques… Bref, il ne savait pas la date d’aujourd’hui, et encore moins s’il avait dormi pendant longtemps. Il se rappelait juste être tombé, assez bruyamment, sur un morceau de bois humide, et avoir regardé le ciel bleu et ensoleillé pendant quelques minutes… Pendant un instant, il avait prié Davy Jones, le célèbre pirate des fonds marins, de lui épargner une mort si humiliante : s’il fallait mourir, il préférait encore rejoindre les abysses marins, et finir comme Léonardo Di Caprio dans Titanic, c'est-à-dire, congelé dans un glaçon géant au fond de l’eau. Il était vrai que s’il restait là trop longtemps, allongé sans bouger, avec une odeur de vomi dans la bouche et sur les vêtements, les crabes viendraient sûrement le bouffer, petit à petit, avec leurs pinces coupantes et tranchantes, et douloureuse, enfin bref…
Bon, sa situation n’était pas vraiment très grave, après tout, il allait certainement s’en sortir dès qu’un petit passant le verrait étendu sur ce pont. De ce fait, il serait ramassé dans quelques heures, rien d’éprouvant, en plus, il aurait un super bronzage pour draguer les filles, pas de quoi se plaindre donc… Réfléchissant comme il le pouvait, Kiba se mit à imaginer le pire qui pourrait arriver dans sa future vie de pirate, avant de s’endormir. Mais justement, dans son rêve, ou plutôt cauchemar, appelons les choses par leurs noms, il s’imaginait attacher tout nu sur une table, en plein soleil. Les liens étaient fait d’un alliage de fer très résistant, et l’empêchait de bouger, tandis que des cormorans – Pourquoi des cormorans ? Il sait pas non plus, au pire il demandera à ta mère ce soir – lui bectaient l’asticot, qui d’ailleurs ressemblait plus à un bâton de berger tout mou qu’à un petit rampant. Une situation dans ce genre, ça marque à mort dans l’esprit, on s’endort plus jamais de la même façon après…
« Mouarf… J’suis où encore… P’tain quel bordel, et puis dehors il flotte… »
Se levant rapidement, il remarqua qu’il avait troqué son habit habituel pour une blouse blanche, assez longue, qui lui donnait des airs de malades mentales à la Prison Break, série qui passait au théâtre, et qui racontait l’histoire de Michel Coffield, emprisonné pour sauver son beau frère de la castration. Cependant, baissant les yeux avec une certaine habilité, qui lui était propre, il remarqua que toutes ses fringues trainaient par terre, dans un vieux mouton de poussière, qui, de part sa taille, devait être ici depuis environ une centaine d’année. Ne se laissant pas dérouter par ce pseudo-hôpital qui semblait négliger ses clients sans argent, il commença par essayer d’ouvrir la fenêtre, et il parvint à créer une légère ouverture… Encore un peu d’efforts, et il était libre, sauf que quand il se retourna, il put constater une jolie infermière bien… formée…
« Arf… »
Il venait de remarquer que la petite indication sur son immense sein gauche indiquait qu’elle faisait partie de la marine nationale, ce qui n’était pas super cool pour un futur pirate… Tant pis, il ne se marierait pas avec, c’était ainsi, et pas la peine d’en débattre plus, il en trouverait d’autres des déesses au corps sublime, et au Q.I négatif. La jeune femme en question était blonde, avec de longs cheveux, et ses petits yeux bleus, en amande bien évidemment, pour renforcer le côté sexy, semblait dire « Embrassez-moi », mais notre héros ne succomba pas à la tentation. Attrapant une lampe à pétrole qui brûlait, il l’approcha violemment du visage de notre petite infirmière coquine, et lui fracassa sur la gueule, de façon à la brûler corporellement, lui crever les yeux avec les bouts de verre, et l’assommer… Ensuite, la fumée se chargerait de l’étouffer et elle crèverait sans trop de douleurs, puisqu’elle serait inconsciente.
« Ce fut dur… »
Tâtant rapidement ce qui ne devait pas l’être sur cette jeune femme, notre héros se remit à l’ouvrage, et essaya d’ouvrir la fenêtre. Il sortirait d’ici, avec ses habits ou non… Pendant un instant, il pensa trimballer la jolie créature, et en profiter plus tard, dans un coin, mais finalement, ce fut rejeté… | |
| | | | MJ3
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Date d'inscription : 08/02/2007
| | Sujet: Re: L'île d'Akuma Crow Sam 10 Mar - 18:46 | |
| Donc le jeune héros s'échappa de cette asile de fou digne de ce fameux théatre (puisqu'il le voyait comme cela) en sautant brievemment par la fenêtre alors qu'il y avait entre celle ci et le béton qui ornait la sol une distance de 20 à 30 Mètres.Ne pouvant pas revenir en arrière -car il avait déjà sauté-, c'était une realité, après avoir fracassé la gueule à une plus jolie femme que lui, c'est lui qui s'explosa la machoire à son tour sur le trottoir de la rue.Avec chance, grâce à la pluie, il ne se fit qu'un petit bobo de rien du tout au menton, oui, sa tête s'était seuleument encastré dans une flaque d'eau avec des morceaux de bouillasse dedans, un doux mélange que je vous conseille, les bains de boues sont très bon pour la peau.
Si on posait l'oreille sur le béton, à côté de sa tête, je suis sûr que nous pourriens reussir à entendre un gémissement venant de lui.
Aujourd'hui, comme je viens de recevoir mon nouveau décodeur, nous allons l'essayer de retranscrir en bon français les paroles du Kibatus Carnivus Don Juantus:
"Meurfeu! Fapoefie deuw bwu"
Ah merde... Je me suis trompé, c'est le décodeur crétin.fr, le vieux qui marchait pas.
"Merdeu! Saloperie de boues!"
Ces mots digne des plus grands poêtes bourgeois de la création, avait vexé les Dieux, tellement que quand il leva la tête, une diligeance qui allait à vive allure envoya encore plus de cette mixture d'un marron ignoble sur notre héros, roh lala...Je suis trop méchant, va falloir que je me calme avec ce pauvre Kiba... (vilain Mj, vilain!)
N'en pouvant plus de toute ses malheurs (nous devrions appellé cette histoire "Les malheurs de Sophie Kiba, ça se vendrait bien), il se leva, s'essuya le corps en le laissant à la pluie, tel l'assoifé attendant l'eau qui le sauvrait, puis continua sa route à la recherche d'une barque pour s'en aller vite fait de cette île dont il se rappellerait toute sa vie comme l'île où il vécu bien des ennuies.
Par malheur, le jour présent était un jour de cérémonie, un bon paquet de marine défilait dans la rue principale, avec des gardes à tous les coins du port.
Et dans la marine, qu'il pleuve qu'il vente ou qu'il neige, la cérémonie est un jour sacré qu'il ne faut pas reporter.
Il chercha un peu partout en espion tapit dans l'ombre, avec la pluie qu'il l'aidait à se camoufler, un endroit du port libre où il pourrait s'échapper, oui, vous savez, les jeunes sont pressés...
Cependant, c'était impossible de s'enfuir, aucune faille pour filer à l'anglaise.
Se baladant dans les coins rues les plus sombre, il eu soudain, un déclic, son cerveau, se mit, par miracle, à marcher, il eu une idée brillante digne de lui, il s'était dit qu'il allait voler une arme chez un marchand d'Akuma crow.
Finalement, il choisit la facilité et frappa un bon coup sur la tronche d'un Marine et lui vola son flingue, les flingues de Marine sont si difficile à manier, mais si classe.
"Avec ça je pourrais embaler plein de jeune fille pirate!"Cria interieurement Kiba, les larmes sortant de ses yeux comme des fontaines.
Il sauta sur le toit d'une maison, et attendit le bon moment pour realiser l'acte qui sera (peut être) le plus bouleversant dans sa vie...
Bien des surprises attendent l'héritier de Don Juan (avec beaucoup plus de rateaux rapeux tout de même). | |
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| | Sujet: Re: L'île d'Akuma Crow | |
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